Mon chéri,

Offre moi ta praline, montée sur ton bâton dur comme fer et rocher révélé pour enfin déguster.

En gourmande, je déballerai ce ballotin et saliverai d’une dégustation vorace. Dur de ne pas croquer cette cerise!

Pleine vu sur ce macaron aux couleurs pain d’épices, je m’impatiente.
Et que ton sirop, ni fade, ni colamine, juste à point, vienne confire mes papilles.

Exquis amuse bouche, je savoure, avant le fourrage de la brioche.

Directement du producteur au consommateur… délice souvent imité mais jamais égalé !


Une tasse de thé?

A mort la ronde des regards critiqueurs

Monte la potence, le verdict est tombé

Le temps de la rébellion est adjuteur

Des personnalités, au fond refoulé

Et du bout d’une corde , fait basculer

Les bougons aux petits visages ternis

D’une bien triste stupidité incrustée

Fade leurs vies, envieuse leur envies

Leurs béantes bouches offusquées

Crachant leur incompréhension

Face à l’art et la manière de forniquer

Tous furent ils coincés du croupion

Et cette atroce langue de vipère

Gigotant, gisant pleine de venin

Nos différences rentrent en guerre

La victoire sera pour DEMAIN

                                                                                                                               










Depuis peu de temps, je me surprends…  

Je me surprends à dire ces paroles, celles qui vous libèrent, celles qui vous chuchotent « Je suis là, j’existe, je pense, je vis ». Celles qui vous viennent des tripes et étripent les autres. Celles qui vous font rire, pleurer, réfléchir… Celles qui vous ouvrent les yeux et vous rappellent qui vous êtes vraiment et qu‘il est bon d‘être enfin SOI… COGITO ERGO SUM …

Je me surprends à faire des choses que je n’aurai pensé ou du moins, oui, j’y songeais mais je n’osais!

Ces choses qui rejoignent ces paroles et qui forment ce tout. Ces choses que peu comprennent et qui font de vous ce mystérieux personnage. Ces choses qui assouvissent votre curiosité mais qui ne la comble pas entièrement. Comme un goût de revient qui vous incite à toujours plus… CITIUS, ALTIUS, FORTIUS…

Je me surprends à révéler mon inavouable « Moi ». Cette partie que peu mérite. Cette bribe qui était enfuis, caché au fond d‘une duperie instruite. Petite fille deviendra grande… grandit… grandit! Le temps file et ne se rattrape pas. Il est meurtrier et emporte tout avec lui mais pas mon essentiel! Je le prendrai juste comme un bon professeur, je lui en extirperai les leçons et il m’offrira l’expérience ….

Je sais qu’il y a encore du chemin mais…

MEMENTO AUDERE SEMPER…

En revanche, je n’oublierai jamais qui je suis, d’où je viens et mes vrais valeurs… tout simplement fidèle à moi-même, sans artifices. Toujours cette petite chose indélébile qui fais de moi ce que je suis… une femme libérée!

ALEA JACTA EST