Mes lèvres se pincent suivant l’intensité du moment. Mes mains, impatientes deviennent errantes, en quête de chaleur. Je les détournent, intimidée, et commencent à le toucher. Les scènes sont nombreuses mais seuls les sons saccadés percent les murs. Parfois, quelques rires trébuchent parfois nerveux, parfois sincères… Mais qui domine qui? Les choses se corsent… Je résiste mais pas longtemps… La résistance n’est pas cruelle quand elle précède la jouissance! Je sais que ma mise à genoux n’est pas une défaite. Rien n’est perdu… tout est à gagner!
Les claques jaillissent, les morsures surviennent et cette cravache sifflotant l’air rebondi sur mes fesses endolories. Je laisse ces mots crus et durs me bercer les oreilles et me guider vers l’extase. La douleur est presque belle… être là, comme ça, offerte, soumise… sa chose, son objet… Quel grand honneur pour moi de me sentir si désirable! N’est-ce pas chose gratifiante pour une femme?
Le voilà au dessus de moi avec ses jambes bien écartées. Pleine vue sur son arme rebelle. Il en profite pour me caresser et saisi le moment pour me gifler plusieurs fois de son sexe bien raide.
Bien que mon entre jambe soit bien trempé, m’empaler dessus, maintenant, serai fort bien ennuyeux! Alors, il me pris sauvagement pour m’élancer au pied du lit et m’ordonna de me branler. Pourquoi ne pas obéir? Le plaisir est à la clé, non?
Avec mes doigts, j’écartai mes lèvres pour bien mettre mon clitoris en évidence face à son regard perçant. J’y posa mon doigt, le mouilla de ma cyprine et commença à pianoter aux sons des gémissements.
Il me fit un bref signe du doigt afin de venir à lui. Je pivota et mis mes jambes de chaque côté de ses fesses. Je me pose sur son gland sans appuyer et mes lèvres recouvrent cette boule écarlate. Tout doucement, je descend et jusqu’au bout, je l’enfonce en moi. Ma chatte se contracte mais l’emboîtement est si fort que de tout mon brûlant liquide, seulement quelques gouttes s’y échappent.
Ma peau se détend lentement en coulissant peu à peu sur son membre. Me voilà bien remplie! Au centre de ma chair, je sens les secousses qui me font gémir tout bas… trop bas… alors son ardeur se fit plus présente. Je sens sur toutes mes parois les battements de mon cœur. C’est loin d’être un moment calme et paisible… tout y passe… Soudain, il se retire et d’un cri annonciateur, une fontaine orgasmique vient arroser mes fesses. Et la brute se faisant douce, étala son précieux d’un massage onctueux. Lorsque l’orage passa, les regards complices dirent tout ce qu’il fallait… Et alors en nonchalance, dans des draps défaits et les orteils en bons amis, nous furent côte à côte souriant d’une respiration accordée!
Et oui, il était un soir…
Merci Titia pour tes petits doigts de fée...
Ce que vous en dites...